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Le bout de gras
7 mars 2019

La démocratisation de l’Afrique

La démocratisation du droit de ponctionner est telle que la corruption sévit à tous les niveaux de la société. Une partie du tissu social et culturel s’articulant non pas autour d’institutions impersonnelles, mais de rapports sociaux privatisés, marchandage et micro-arnaque sont devenus la norme. La corruption est devenue un véritable système de redistribution sociale en même temps que le facteur structurant des inégalités entre régions et tribus. L’instrumentalisation des institutions étatiques et de toute parcelle de pouvoir et d’autorité a des fins personnelles, familiales et tribales étant devenue la règle, la lutte politique est réduite à une lutte pour l’accès aux gisements de corruption. Les rapports de faveur priment sur la loi. Tout, systématiquement, peut être vendu ou acheté. D’où l’étiolement de toute notion de service public. « LA DÉMOCRATISATION DU DROIT DE PONCTIONNER EST TELLE QUE LA CORRUPTION SÉVIT À TOUS LES NIVEAUX DE LA SOCIÉTÉ. LES RAPPORTS DE FAVEUR PRIMENT SUR LA LOI. Parfois pour ne pas dire le plus souvent il peut être la conséquence d’un passage au froid qui peut être tout aussi délétaire si la pâte n’est pas remise à température avant d’être enfourné. Remontons aux origines dle madeleine pour en savoir plus. La légende de la madeleine est une histoire aussi rocambolesque que bien des histoires qui caractérisent les pâtisseries françaises. On prétend que c’est le fameux roi Stanilas Leckzinski beau-père de Louis XV qui viva en exile en Lorraine au chateau de Lunéville qui popularisa ce fameux gâteau. Cette douceur aurait été conçu par Madeleine Paumier, ancienne cuisinière, de Mme Perrotin de Barmond. À ce jour, rien ne prouve que la légende reflète la réalité. La madeleine s’écrivait alors madelaine. Malheureusement pas de trace de la madeleine dans les livres de cuisine du XVIIIe siècle. On l'a d'ailleurs congédié pour avoir dénudé le roi. Il faut désormais cogner, en dessous de la ceinture si l'on veut, pour obtenir le vacillement ou le k.-o. Quels seront les principaux programmes? L'esprit de cette télé sera-t-il proche de celui de l'université populaire de Caen? Dans un média classique, ce qui est visé est moins l'information, vraie ou fausse, que le spectacle susceptible de créer le buzz. C'est d'abord le média de l'université populaire. J'ai souhaité reporter le lancement de ce média de juin à septembre parce que les interventions de mes amis de l'UP n'étaient pas prêtes à être mises en ligne. J'ai préféré commencer plus tard, avec ma trentaine d'amis, plutôt que très vite, avec moi seul. Je souhaite par la suite créer des rubriques autonomes pour mes amis qui souhaiteraient s'exprimer aussi. La famille avant tout. Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement, a répondu à un questionnaire élaboré par Paris Match, ce jeudi 3 août, n’hésitant pas à révéler quelques bribes de sa vie intime. Presque sans s’en rendre compte, tout en souhaitant rester discret, il a formulé une jolie déclaration à celle qui partage sa vie, la mère de ses deux filles : Hélène. Une façon de montrer, aussi, qu’il place sa famille en tête de ses priorités. A la question, « Avec qui n’aimeriez-vous pas être fâché ? », celui qui s'est récemment fait remarquer pour une blague sexiste sur Rihanna, a directement répondu : « Avec la mère de mes filles, je serais mal sinon ! » Une réponse qui montre bien à quel point la complicité qu’il entretient avec sa compagne est importante à ses yeux. Tous deux se sont rencontrés au lycée, et ne se sont plus quittés. Entre eux, c'est du solide. D’ailleurs, en mai dernier, le beau barbu avait évoqué sa femme en direct sur LCI, là encore avec beaucoup de tendresse et de reconnaissance. Un peu plus loin dans l’interview de Paris Match, alors que le journaliste lui demande où il se voit dans dix ans, le proche du président lance sans une hésitation : « Auprès de ma famille ! » Et lorsqu’on lui demande quelle est sa plus grande fierté, là encore, pas d’hésitation : « Mes filles ! », répond-il. Plus de doute possible : son univers tout entier semble tourner autour des trois femmes de son clan. Il aperçoit un compte de soutien à François Fillon interpeller François Bayrou sur le passage du livre de Corinne Lepage, qui accuse le Modem de recourir à des emplois fictifs. Bayrou dément. «Là je prends une photo de ma carte de l’Assemblée et je l’envoie en réponse. Je me dis que ça va dynamiter le truc. Et il ne s’est rien passé», se remémore l’ancien collaborateur en sirotant un verre de vin rouge. C'est pas beau de mentir, François. Agacé, Nicolas Grégoire contacte alors les rédactions. Avec du recul, il se dit qu’il aurait dû faire comme l’ancien collaborateur de Jean-Luc Bennahmias et passer par la justice. «Je n’avais pas confiance», se justifie-t-il. «Soit ça n’est pas passé, soit on m’a ignoré, soutient-il à voix basse, avant de reprendre plus fort. L’étudiant médiocre fait son droit et milite dans les clubs Forum de Michel Rocard. Avec Hélène, bien sûr. «Je suis rentré au PS par et pour Michel Rocard. Il m’a toujours fasciné.» Défenseur de la deuxième gauche, il soutient François Hollande mais tique lorsque le futur président explique que son ennemi c’est la finance ou qu’il va taxer à 75% les plus riches. Quand son ancien patron Michel Sapin le canarde, il préfère l’ignorer : «Je ne veux garder que son intelligence, pas ses attaques.» Au PS déjà, il accumulait les surnoms : «Kéké» (Sapin), «Simplet» (entourage de Cambadélis). Du «parisianisme condescendant», observe-t‑il. Il avoue que les attaques sur son accent l’ont parfois blessé. Cet été, il n’a pas aimé lire une citation -attribuée à un conseiller de l’Elysée- rapportée par «Le Monde», qui le qualifiait de «bouseux de Forcalquier». Son cuisant échec aux régionales de 2015 apparaît comme une libération. Son coup de gueule aura donc fini par payer. François Bayrou semble avoir remporté son bras de fer avec En marche ! Il obtiendrait finalement "un peu plus d’une centaine" d'investitures en vue des élections législatives, selon les informations du Monde. Un chiffre qui n'a été pour l'heure confirmé par aucune des parties. En attendant, la brouille de ces dernières heures semble déjà loin. 13 mai, Benjamin Griveaux, le porte-parole d'En marche ! Il reconnaît qu'il y avait "des difficultés" dans "quelques endroits" mais "c'était une tempête dans un verre d'eau". Dès vendredi soir, le président du MoDem avait retrouvé le sourire, à la sortie du bureau politique de son parti. Il déclarait avoir trouvé un projet d'accord "solide et équilibré" avec La République en marche. Il y a du mieux, donc, dans les relations entre Emmanuel Macron et le président du MoDem. Elles s'étaient dégradées ces dernières heures. François Bayrou s'estimait lésé dans les investitures rendues publiques, jeudi, par le mouvement du nouveau président. Le compte n'y était pas. Le maire de Pau souhaitait qu'on lui réserve 120 investitures pour les législatives. Dans la première version, il n'en disposait finalement que de 35. Un contretemps que le maire de Pau avait du mal à digérer. L'Obs. Tout cela semble donc (déjà) du passé.

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